La modeste sécurité de mon travail salarié mange mes entrailles.
Je ne parviens plus à écrire.
Parfois même, je me demande si je saurais encore me battre avec mes mots.
Ou juste raconter une « histoire inventée » à ma fille.
Petit à petit, ce qui me grignote est un quotidien asphyxiant :
un bal médiatique et informatif colle à ma peau
le voyeurisme, auquel cette danse fait si souvent place, m’assied.
Là, près de moi, inconscients ou peut-être heureux de leur sort, mes partenaires de salariat nourrissent l’importance de leur gagne-pain, de leur âme.
HG,
(* de somme !)